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Seigneur de la Flèche - Jean de Beaugency, de la Flèche | Auteur : gregoss24 |
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Titres et seigneuries associés --> 1: |
Titre/Commune/Personnage | 1049 | 1050 | 1051 | 1052 | 1053 | 1054 | 1055 | 1056 | 1057 | 1058 | 1059 | 1060 | 1061 | 1062 | 1063 | 1064 | 1065 | 1066 | 1067 | 1068 | 1069 | 1070 | 1071 | 1072 | 1073 | 1074 | 1075 | 1076 | 1077 | 1078 | 1079 | 1080 | 1081 | 1082 | 1083 | 1084 | 1085 | 1086 | 1087 | 1088 | 1089 | 1090 |
Seigneur - La Flèche Jean de Beaugency, de la Flèche - Seigneur de la Flèche |
Mariage(s) --> 1: |
Acte de Mariage | Personnage A | Personnage B | Commune | Date | Auteur |
Acte de mariage | Jean de Beaugency, de la Flèche - Seigneur de la Flèche | Herberge du Maine | NON DEFINI | 0/0/1085 | gregoss24 |
Enfant(s) --> 1: |
Personnage(s) | Naissance | Décès | Auteur |
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Hélie de Beaugency ou de la Flèche - Élie Ier du Maine | entre 0/0/1055 et 0/0/1065 | 11/7/1110 | gregoss24 |
Enfant(s) | 1053 | 1054 | 1055 | 1056 | 1057 | 1058 | 1059 | 1060 | 1061 | 1062 | 1063 | 1064 | 1065 | 1066 | 1067 | 1068 | 1069 | 1070 | 1071 | 1072 | 1073 | 1074 | 1075 | 1076 | 1077 | 1078 | 1079 | 1080 | 1081 | 1082 | 1083 | 1084 | 1085 | 1086 | 1087 | 1088 | 1089 | 1090 | 1091 | 1092 | 1093 | 1094 | 1095 | 1096 | 1097 | 1098 | 1099 | 1100 | 1101 | 1102 | 1103 | 1104 | 1105 | 1106 | 1107 | 1108 | 1109 | 1110 | 1111 | 1112 |
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Hélie de Beaugency ou de la Flèche - Élie Ier du Maine |
Brique(s) associée(s) --> 8: |
Nom | Type | Sous-Type | Date J/M/A | Auteur |
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GENERAL | Information | 13/2/1088 à 13/2/1088 | gregoss24 |
Cette église connue sous le nom de Eglise Saint-Ouen sous acte. Cet écrit est un acte sur lequel Jean de la Flèche fait don de cette église à l’abbaye Saint-Aubin d’Angers. Dans ce même texte, il fait don d’une autre chapelle, celle de Sainte Marie inscrite dans l’ancien château de Jean de la Flèche, en date du 13 février 1088. | ||||
la Flèche extra-muros, page 42 - Pierre Schilte | ||||
Pertinence et notations : |
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GENERAL | Information | 0/0/1087 à 0/0/1087 | gregoss24 |
L'église de Notre-Dame-du-Chef-du-Pont, chapelle du château, n'a dû qu'en 1087 seulement devenir paroissiale : c'est à cette époque, en effet, que Jean de Beaugency l'a donnée aux moines de Saint-Aubin.(1) | ||||
(1) - HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, par CH. de Montzey - page 27 | ||||
Pertinence et notations : |
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GENERAL | Information | 0/0/1087 à 0/0/1087 | gregoss24 |
Jean de La Flèche ne devait pas longtemps survivre au roi d'Angleterre, qu'il avait si fidèlement servi. L'âge commençait à lui faire sentir ses atteintes. En 1087, il concéda à l'abbaye de Saint-Aubin, suivant l'usage de ces temps , des fiefs , des droits particuliers et des terres : au point de vue de l'histoire, les chartes, où les dons des seigneurs sont consignés, ne sont jamais assez multipliées ; car c'est par elles seules qu'on peut éclaircir les doutes sur les points controversés et s'édifier d'une manière irréfutable sur les noms et les familles des signataires de ces actes, qui étaient précieusement conservés dans les monastères, et le sont à cette heure en partie dans les archives nationales et départementales. Celles du Mans possèdent l'original de la charte contenant le détail des concessions faites par Jean de La Flèche. Nous la donnons en note dans son complet ; ce titre est intéressant pour La Flèche et nous devons le consigner dans cet ouvrage. [...] D'après ce titre, Jean de La Flèche — vir nobilis et miles eyreyius — donna à. l'abbaye de Saint-Aubin l'église de Saint-Odon — Sancti-Au-douini — depuis Sainte-Colombe, comme il la possédait lui-même, et sa propre chapelle construite en l'honneur de Sainte Marie toujours Vierge, une mesure de bonne terre, c'est-à-dire autant que quatre bœufs de la plus grande force peuvent , suivant l'usage des laboureurs, en retourner en un jour, et un pré devant l'église de Saint-Odon avec d'autres placés plus loin, très-probablement ceux qui se trouvent entre l'église et le moulin de la Bruère. A ces dons , il joignit celui de son jardin et de son verger, et leur désigna un endroit pour bâtir un bourg et y construire un four banal. (La tradition, conforme d'ailleurs à la position des lieux, désigne le terrain affecté à ce verger et à son jardin tout celui qui est occupé par la Beufferie et qui se trouvait compris dans l'enceinte de murs et d'eau formant du côté du midi l'une des principales défenses du château féodal). Il décida que ceux qui habiteraient ce bourg, seraient sous la puissance des moines auxquels ils prêteraient foi et hommage et qu'ils leur appartiendraient pour le service, à l'exception du temps où l'ennemi venant à l'attaquer, il les emploierait à la défense de son château. Il leur donna, en outre, la dime du blé, qui serait porté à ses moulins, celle des poissons qu'on prendrait dans les rivières de ses fiefs, et celle du pain qui serait cuit à son four banal, puis enfin la dixième partie du produit de ses vignes et des charrois qu'on lui devait. Les principaux témoins présents à cet acte furent Qualdin , seigneur de Malicorne , Girard de Cleers , Archambaud fils d'Ulric, et Girard, abbé de Saint-Aubin. L'église de Saint-Odon est celle que nous connaissons maintenant sous le nom de Sainte-Colombe , nom que lui donnent au reste toutes les chartes du XIIme siècle , qui y sont relatives. Saint-Odon était un religieux bénédictin , né dans le Maine d'une famille noble. Il fut chanoine de Saint-Martin de Tours et mourut en 932 (Dictionnaire Historique de l'Avocat). Dans la bulle du pape Paschal II accordée en date du 4 juin , de l'indiction XVme de l'an \ 107, à Archambaud, abbé de Saint-Aubin , comme confirmation des biens de ladite abbaye situés dans le diocèse d'Angers, nous trouvons dans la nomenclature de ces biens ou possessions et Sancti-Avsrnarii-de-Fissia (La Flèche) seu Columba (Sainte-Colombe). Sanctus Ave-rnerius, sanctus Audouinus et sanctus A udoenus ont la même signification — Saint-Odon. L'origine de la Beuffrie et de la Boirie, faubourgs de La Flèche, date de cet acte de concession de ces terrains commandant du côté du midi les abords de la rivière du Loir. Ces faubourgs devenant la propriété d'un puissant monastère, restant toujours neutres dans ces perpétuelles discordes, devenaient une véritable défense morale pour le château de La Flèche. Ils ont toujours dépendu et dépendent encore de la paroisse de Sainte-Colombe, maintenant annexée, comme commune, à la ville, dont ils ne sont séparés que par le Loir. ---NB--- Dans cette brique, il est associé 4 moulins énoncés dans l'acte. Par déduction, j'ai recueilli les quatre moulins existant autour du château de Jean de la Flèche (des Carmes). Ces moulins sont donc des hypothèses. |
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HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, M. de Monlzey, page 41, 42 et 43 | ||||
Pertinence et notations : |
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GENERAL | Information | 0/0/1081 à 0/0/1081 | gregoss24 |
Mais la réconciliation de Foulques-Réchin avec Jean de La Flèche ne fut pas sincère ou du moins ne fut pas durable; car, en 1081 , il vint de nouveau assiéger la place, la prit et la brûla. Nous n'avons trouvé chez aucun historien les détails de ce fait, détails qui auraient été pour nous d'un grand intérêt. Cette prise d'un château si fort montre chez le comte d'Anjou des talents militaires, dont il avait donné déjà bien des preuves. Ces talents étaient , au reste, traditionnels , car le moine Richer nous dit qu'au Xme siècle Foulques-le-Roux , second comte d'Anjou , faisait de Végèce sa lecture favorite. (Institutions d'Education militaire, t. 1er, p. 16. DeMontzey.J Le souvenir de cet événement était resté dans la mémoire des habitants , et quand la date d'un écrit ou d'une charte correspondait à l'année 1 081 , il parait qu'ils avaient toujours soin de le rappeler. Dans une charte mentionnant l'octroi d'un don au prieuré de Sainte-Colombe , dépendant de l'abbaye de Saint-Aubin, il est dit que ce fut fait l'année où le château de La Flèche fut incendié. — Hoc illo tempore quo castrum Fisse horribiliter combustum est. (Archives du Mans.) — Et ce souvenir devait rester d'autant plus traditionnel que, soit avant, soit après le sac du château, toutes les campagnes environnantes avaient dû subir la terrible loi du vainqueur, loi se traduisant toujours alors par le viol , le meurtre et l'incendie. |
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HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, M. de Monlzey, page 37 | ||||
Pertinence et notations : |
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GENERAL | Information | 0/0/1081 à 0/0/1081 | gregoss24 |
... A défaut de données certaines et n'ayant en main qu'une seule pièce originale, tenant au précieux cartulaire de l'abbaye de Saint-Aubin (1), datée seulement de 1087 et parlant du château — CASTRUM DE FISSA — Instruit par la chronique de cette môme abbaye qu 'en 1067 il y avait une armée à La Flèche — exercitus de Fixa — et que Foulques - Réchin prit et brûla le château en 1081, nous nous bornerons à dire que Jean de Beaugency ne nous parait être devenu seigneur de La Flèche...(1) | ||||
(1) - HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, par CH.de Montzey - page 53 ou 30 | ||||
Pertinence et notations : |
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GENERAL | Hypothèse | 0/0/1081 à 0/0/1250 | gregoss24 |
Le château de villégiature de l'Arthuisière, également connu sous le nom de château de Quifière sur une carte de 1745, a été construit dans un style néo-gothique typique du XIXe siècle. Il repose sur les vestiges d'un ancien château bien plus ancien, datant au moins du XIIIe siècle. Selon certains textes anciens, le roi Saint-Louis y aurait séjourné quelques nuits. Cet ancien château demeure une énigme pour les historiens et pourrait, selon son positionnement, être lié à une ancienne fortification de La Flèche, sous la seigneurie de Jean de Beaugency. Au début et au milieu du XIe siècle, Jean de la Flèche, premier seigneur de cette commune, fit construire ou reconstruire un château sur les méandres du Loir vers 1040. Ce château, protégé par de nombreuses douves et le Loir, offrait une position difficile à prendre pour tout envahisseur. Cependant, son emplacement présentait un désavantage majeur : une vue limitée sur le paysage. À cette époque, les châteaux ou mottes castrales étaient souvent construits près d'un point d'eau et sur un promontoire rocheux, comme ceux de Durtal, Loudun ,et Baugé, construits par Foulque Nerra entre 1000 et 1040, ou encore le château de Sablé à la fin de ce même siècle. En ce qui concerne la famille de Jean de La Flèche, son père de Lancelin Ier de Beaugency et son frère Hervé de Lavardin et Beaugency construisaient aussi des châteaux sur des promontoires rocheux. Jean de la Flèche a probablement obtenu les terres de La Flèche par le mariage de son père, Lancelin Ier de Beaugency, avec Paule du Maine, fille de Herbert Ier Eveille Chien du Maine, comte du Maine. Les comtes de Beaugency, alliés fidèles des comtes de Blois, étaient des ennemis du comte d'Anjou, Foulque Nerra. Dans ce contexte, il semble logique que la défense de La Flèche, située à la frontière du Maine et de l'Anjou, soit orientée contre le comte d'Anjou. Jean de la Flèche, fidèle de Guillaume le Conquérant et ennemi de Foulque Réchin, comte d'Anjou, vit son château et sa cité détruits par ce dernier en 1081. Le château fut reconstruit immédiatement après, probablement en pierre. On peut émettre l'hypothèse que le château de l'Arthuisière fut également construit à cette époque comme poste stratégique pour Jean de la Flèche. Seule une analyse des fondations des deux édifices pourrait confirmer cette hypothèse. Le château de l'Arthuisière, connu pour son origine lointaine, semble également positionné sur un ancien axe routier reliant La Flèche au château d'Oyré via la route de la Faucillette et les Arthuisière. Bien que cette hypothèse ne soit pas entièrement claire, il était courant au Moyen Âge de construire des châteaux sur les axes principaux de passage. Ainsi, le château de l'Arthuisière pourrait avoir été soit un château majeur sur cet axe, soit un avant-poste de garde, comme celui situé à l'ouest de La Flèche, au lieu-dit de la Mottaie. |
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GENERAL | Information | 0/0/1078 à 0/0/1078 | gregoss24 |
Loin de reculer, les Angevins et les Bretons imitèrent le conquérant à sa descente en Angleterre, détruisirent toutes leurs barques lorsqu'ils eurent passé le Loir, (1 ) et commencèrent par investir le château , ainsi que paraît le dire Orderic Vital : « Hoc audiensFulco vehementer doluit, undecumque contractas viribus Joannis obsedit. » Les deux armées allaient en venir (1) Andegavenscs vero, Britoneo comperto, régis et agminis cjus advcntu non fugerunt; sed potins Ligerim lluvium audenter pertransiernnt, et transrecti ne timidiores spe fugiendi segniùs praliarentnr, scafas suas detruxerunt. — (Orderic Vital.) |
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HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, M. de Monlzey, page 36 | ||||
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GENERAL | Hypothèse | 0/0/1051 à 0/0/1064 | gregoss24 |
... Lancelin de Beaugency vivait donc vers l'an 1000 (Art de vérifier les dates). On le voit apparaître dans différentes chartes, en 1033, en 1040 et en 1050. Puis aucune trace de lui depuis 1051. Il est donc probable qu'il mourut de 1051 à 1060. Jean, son fils cadet, défendait son château de La Flèche en 1064 contre le comte d'Anjou. Est-ce par Lancelin 1? ou par Jean, son fils, que ce château a été bâti? Le premier tenait-il celle seigneurie du chef de sa femme Paule, fille d'Herberl-Eveille-Chien, comte du Maine? Le second, Jean, ne pouvait-il pas, lui, l'avoir reçue de sa femme nommée aussi Paule, tille d'Hugues II, beau-frère de Lancelin, et par conséquent nièce de la mère de son mari : car en parlant des trois filles d'Hugues II, comte du Maine, Orderic Vital dit : « Tertia r.tro Johnnni, Domini Castri(juod Flerchid dicilur, nupsit. » Leur fils Hélie avait l 'âge d' homme à la mort de son père Jean, en 1088; tous ses actes prouvent qu 'il avait au moins trente ans à cette époque; et comme il eut deux frères aînés, il est probable que leur père se maria de 1050 à 1054, étant déjà seigneur de La Flèche. Nous prendrons donc comme date principale 1051. C'est seulement au moyen de ces calculs approximatifs que l' on peut dire que vers 1051 ou 1052 le château venait d 'être bâti ou se bâtissait.(1) Dans l 'Essai sur les Fortifications anciennes, par M. le capitaine du génie Delair (Dumaine 1875), nous lisons : « On trouvait encore, dès le XIe siècle, le château de La Flèche construit sur des arches en maçonnerie au milieu de la rivière; et les faubourgs, situés sur les berges, avaient été également séparés de la terre ferme, sur laquelle ils étaient précédemment élevés au moyen de canaux artificiels. Cet ensemble, dit M. Feauger, formait un système de fortification hydraulique, très-original alors, mais aussi très-efficace »(2) | ||||
(1) - HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, par CH. de Montzey - page 40 ou 17 (2) - HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, par CH.de Montzey - page 54 ou 31 en référence à l 'essai sur les Fortifications anciennes, par M. le capitaine du génie Delair (Dumaine 1875) | ||||
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