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Château des Carmes Auteur : gregoss24

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Sous-Type : Château
Hypothèse : Non
Imobs détruit : Non
Latitude / longitude : 47,6959 / -0,0747
Commune : La Flèche - FRANCE - Pays-de-la-Loire - Sarthe
Date de création : 0 / 0 / 873
Date de destruction : Non détruit
Information:

Réferences :
Site Web :
Auteur : gregoss24
Pertinence et notations : Option 2 1 Option 2 0 Option 2 0 Option 2 163 Cet élément est Neutre --> 1
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Nom Type Sous-Type Date J/M/A Auteur

Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Plan R+0 1926 - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1926 à 0/0/1926 gregoss24
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https://phototheque-patrimoine.paysdelaloire.fr/
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche Coupe A 1926 - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1926 à 0/0/1926 gregoss24
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche Coupe B 1926 - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1926 à 0/0/1926 gregoss24
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Plan RDC vers 1920 - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1920 à 0/0/1920 gregoss24
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https://phototheque-patrimoine.paysdelaloire.fr/
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Sous-Type d'image La Flèche - edit Dabin n°003 Vue sur le Loir - 1890-1910 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1900 à 0/0/1945 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - Elargissement de la rue basse au niveau du pont des carmes Coupe - 1898 - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1898 à 0/0/1898 gregoss24
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https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/memoire/IVR52_19917201177X?mainSearch=%22Pont%20des%20Carmes%22&ou=%5B%22Fl%C3%A8che%20%28La%29%22%5D&last_view=%22list%22&idQuery=%22afe7355-faa-75fa-e88b-fa65e
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Sous-Type d'image La Flèche - edit Grand Bazar de Paris Vue sur le Loir - 1890-1915 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1915 gregoss24
My image Edition La Flèche Grand Bazar de Paris
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Sous-Type d'image La Flèche - edit J Bouverert Rue du Quai 2 - 1890-1945 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1945 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - edit Coudret Marcais Vue sur le Loir - 1890-1901 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1901 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - edit G Thibault n°019 Le Parc et le Château des Carmes - 1890-1919 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1919 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - edit G Thibault n°046 Le Château des Carmes 2 - 1890-1919 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1919 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - edit G Thibault n°046 Le Château des Carmes - 1890-1919 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1919 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - edit G Thibault n°208 Vue sur le Loir - 1890-1919 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1919 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - edit G Thibault n°331 Pont des Carmes et Nouvel Hôtel de Ville 1890-1919 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1919 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - edit G Thibault n°336 Vue sur le Loir - 1890-1917 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1917 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - edit G Thibault n°043 Entrée de la Ville 3 - 1890 -1919 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1919 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - edit G Thibault n°008 Le Loir- 1890-1902 - Carte Postale IMAGE Carte Postale 0/0/1890 à 0/0/1902 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - Elargissement de la rue basse au niveau du pont des carmes - 1898 - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1889 à 0/0/1889 gregoss24
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https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/memoire/IVR52_19917201176X?mainSearch=%22Ponts%20des%20Carmes%22&ou=%5B%22Fl%C3%A8che%20%28La%29%22%5D&last_view=%22list%22&idQuery=%22bcb6b13-81f-1e85-2b5a-1cb7
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Sous-Type d'image La Flèche - Elargissement de la rue basse au niveau du pont des carmes Coupe - 1898 - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1889 à 0/0/1889 gregoss24
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https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/memoire/IVR52_19917201175X?mainSearch=%22Pont%20des%20Carmes%22&ou=%5B%22Fl%C3%A8che%20%28La%29%22%5D&last_view=%22list%22&idQuery=%222047ef3-3748-ad31-4602-5508
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Sous-Type d'image Peinture de Lasa François - vue sur les moulins de la Flèche - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1875 à 0/0/1900 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - Château des Carmes dessin - 1860 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1860 à 0/0/1860 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - Château des Carmes - 1855 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1855 à 0/0/1855 gregoss24
My image
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Sous-Type d'image La Flèche - Château des Carmes - Peinture de Guérard - 1855 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1855 à 0/0/1855 gregoss24
My image Il est important de préciser le prénom du peintre, car à cette période, il existe plusieurs artistes reconnus portant le nom de Guérard, dont :

- Eugène-Charles Guérard, né à Nancy en 1821 et décédé dans la même ville en 1866.
- Henri Guérard, né le 26 avril 1846 à Paris et mort le 24 mars 1897.
Compte tenu de l'âge d'Henri Guérard, qui n'avait que 9 ans à l'époque de la création de cette toile, il est peu probable qu'il en soit l'auteur. Il est donc plus vraisemblable que l'œuvre soit attribuée à Eugène-Charles Guérard.
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Sous-Type d'image La Flèche - Château des carmes Peinture de Guérard - 1855 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1855 à 0/0/1855 gregoss24
My image Peinture de Guérard.

Il est important de préciser le prénom du peintre, car à cette période, il existe plusieurs artistes reconnus portant le nom de Guérard, dont :

- Eugène-Charles Guérard, né à Nancy en 1821 et décédé dans la même ville en 1866.
- Henri Guérard, né le 26 avril 1846 à Paris et mort le 24 mars 1897.
Compte tenu de l'âge d'Henri Guérard, qui n'avait que 9 ans à l'époque de la création de cette toile, il est peu probable qu'il en soit l'auteur. Il est donc plus vraisemblable que l'œuvre soit attribuée à Eugène-Charles Guérard.
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Sous-Type d'image La Flèche - Château des Carmes - 1854 - Photo IMAGE Photo 0/0/1854 à 0/0/1854 gregoss24
My image Photo de 1854 du château des Carmes de la Flèche. Dans cette photo on y aperçois les travaux du nouveau pont des carmes inauguré en 1855.
https://phototheque-patrimoine.paysdelaloire.fr/
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Sous-Type d'image La Fléche - Château des Carmes - hypothèse du château par Raoul Digard avant 1850 - Hypothèse GENERAL Hypothèse 0/0/1850 à 0/0/1850 gregoss24
My image
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Sous-Type d'image Dessin de Peter Hawke Château de Hèlie de la Flèche - 1838 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1838 à 0/0/1838 gregoss24
My image Ce dessin de 1838 réalisé par Peter Hawke porte un titre quelque peu trompeur. En effet, le reste de cet édifice est difficilement datable des XIe et XIIe siècles, époques correspondant à celle d'Hélie de la Flèche. La partie du dessin fait plutôt référence à une tour et un pont construits plus tardivement, vers le XVe siècle, sous le règne de Jean II. Le pont au premier plan, quant à lui, fut érigé par les Carmes vers 1683. L'une de ses arches fut détruite lors de la Révolution par les Fléchois en lutte contre les troupes royalistes vendéennes. Cette arche fut ensuite reconstruite en bois.
Face ouest de la grosse tour du château et du pont, gravure, 1838, par Peter Hawke dans ""Album des monuments de l'Anjou"", pl. 35 ; BM, Angers : ms 1281-1052.
Bibliothèque de la ville d'Angers
https://phototheque-patrimoine.paysdelaloire.fr/
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Sous-Type d'image La Fléche - Château des Carmes - hypothèse du château 2 par Raoul Digard avant 1855 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1834 à 0/0/1834 gregoss24
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche cadastre 1823 - Layout MAP Layout 0/0/1823 à 0/0/1826 gregoss24
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Sous-Type d'image Lieu-dit Les Plantes - (old) Saint-Germain-du-Val (72) - cadastre 1824 - Layout MAP Layout 0/0/1823 à 0/0/1826 gregoss24
Pertinence et notations : Option 2 0 Option 2 0 Option 2 0 Option 2 35 Cet élément est Neutre --> 0

Sous-Type d'image Château des Carmes par Prisse d'Avesne - La Flèche - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1820 à 0/0/1855 gregoss24
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Sous-Type d'image La Flèche - Plan du chateau et du pont des Carmes - 1804 - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1804 à 0/0/1804 gregoss24
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Meilleure qualité
https://phototheque-patrimoine.paysdelaloire.fr/fr/temps-modernes/17e-siecle/2e-moitie-17e-siecle/4e-quart-17e-siecle-frxf1005868200000000017d240.htm?F_id=f1005868200000000017d240&np=15
https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/memoire/IVR52_19917200489X?mainSearch=%22Ponts%20des%20Carmes%22&ou=%5B%22Fl%C3%A8che%20%28La%29%22%5D&last_view=%22list%22&idQuery=%22bcb6b13-81f-1e85-2b5a-1cb7
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1800 à 0/0/1855 gregoss24
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Peinture sur Vase du début au XIXe siècle - 01 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1800 à 0/0/1850 gregoss24
My image
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Peinture sur Vase du début au XIXe siècle - 02 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1800 à 0/0/1850 gregoss24
My image
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Peinture sur Vase du début au XIXe siècle - 03 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1800 à 0/0/1850 gregoss24
My image
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Peinture sur Vase du début au XIXe siècle - 04 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1800 à 0/0/1850 gregoss24
My image
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Sous-Type d'image La Flèche - Restes du Chateau de la Flèche Peinture Lermecier - XIXe - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1800 à 0/0/1850 gregoss24
My image Lithographie de Lemercier, édition Jacottel
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Sous-Type d'image Plan de travail pour la création du futur pont des carmes de 1855 - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1800 à 0/0/1855 gregoss24
My image Le plan correspond à la création d'une digue pour les futures travaux du nouveau pont des carmes et des nouveau quais du port Luneau. La Date reste à confirmer
https://phototheque-patrimoine.paysdelaloire.fr/
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1800 à 0/0/1855 gregoss24
My image
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Sous-Type d'image Extrait sur le corps de Logis du château des Carmes de la Flèche - Information GENERAL Information 0/0/1753 à 0/0/1753 gregoss24
<Ses ruines, du reste, annonceraient une assez haute antiquité, et ce qui
en restait encore il y a une quinzaine d'années , le corps de logis de douze
mètres de longueur sur neuf de largeur et conservé par les soins du P.
Belarmy de Chérie, en 1753, ne peut nous dire si l'ensemble indiquait une
construction complètement homogène ou des annexes successives élevées
suivant les nécessités des temps.>
HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, M. de Monlzey, page 30
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Sous-Type d'image Pont et château des Carmes vers 1696 - La Flèche - Plan - Géométraux IMAGE Plan - Géométraux 0/0/1696 à 0/0/1696 gregoss24
My image
https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/memoire/IVR52_19967200193XA
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Sous-Type d'image Dessin d'Etienne de Martelange - Vues de la ville de la Flèche en Anjou - 1612 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1612 à 0/0/1612 gregoss24
My image
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b69374252.r=Martellange%20%20la%20fl%C3%A8che?rk=257512;0
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Sous-Type d'image Dessin d'Etienne de Martelange - Vues d'une porte de la Flèche - 1612 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1612 à 0/0/1612 gregoss24
My image
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b6937426g.r=Martellange%20%20la%20fl%C3%A8che?rk=278971;2
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Sous-Type d'image Dessin d'Etienne de Martelange - Vues des jardins de la maison royale de la Flèche - 1612 - Dessin IMAGE Dessin 0/0/1612 à 0/0/1612 gregoss24
My image
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b6937429q.r=La%20Fl%C3%A8che%20Etienne%20de?rk=386268;0
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Reconstitution 1610 Ferrand Grégory - Hypothèse GENERAL Hypothèse 0/0/1612 à 0/0/1612 gregoss24
My image Reconstitution du château et du pont des carmes (Château de Jean II), selon les dessins d'Étienne de Martellange et des différentes photos et dessins illustrés entre 1800 et 1855.
Sur ce premier travail certain élément manque de renseignement dont le pont des carmes. Ce travail reste une ébauche.
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Reconstitution 1610 par Raoul Digard - Hypothèse GENERAL Hypothèse 0/0/1610 à 0/0/1610 gregoss24
My image
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Sous-Type d'image Dont et mort de Jean de La Flèche - Information GENERAL Information 0/0/1087 à 0/0/1087 gregoss24
Quelques temps après , Jean de La Flèche, étant tombé malade à Château-Gontier et ayant obtenu des moines de Saint-Aubin avec leur bénédiction la permission de revêtir leur propre habit , donna à ces religieux la dime du péage de son château avec ses panages (droit de faire paître les porcs dans les forêts) et consentit à l'amortissement des biens que les moines viendraient à posséder, à titre de don ou d'acquêt dans l'étendue de son domaine. D'après ce titre , les prêtres de l'église du Lude (de Lusdo) leur concédèrent immédiatement tout le presbytère. Il mourut peu de temps après, et les moines ayant préparé son corps avec le plus grand soin (corpus dilig enter procuratum), le transportèrent à Saint-Aubin, où il fut enterré.
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Siege du château de 1081 - Information GENERAL Information 0/0/1081 à 0/0/1081 gregoss24
Mais la réconciliation de Foulques-Réchin avec Jean de La Flèche ne fut
pas sincère ou du moins ne fut pas durable; car, en 1081 , il vint de nouveau
assiéger la place, la prit et la brûla. Nous n'avons trouvé chez aucun historien les détails de ce fait, détails qui auraient été pour nous d'un grand intérêt. Cette prise d'un château si fort montre chez le comte d'Anjou des talents militaires, dont il avait donné déjà bien des preuves. Ces talents
étaient , au reste, traditionnels , car le moine Richer nous dit qu'au Xme siècle Foulques-le-Roux , second comte d'Anjou , faisait de Végèce sa lecture favorite. (Institutions d'Education militaire, t. 1er, p. 16. DeMontzey.J
Le souvenir de cet événement était resté dans la mémoire des habitants , et quand la date d'un écrit ou d'une charte correspondait à l'année 1 081 , il parait qu'ils avaient toujours soin de le rappeler. Dans une charte mentionnant l'octroi d'un don au prieuré de Sainte-Colombe , dépendant de l'abbaye
de Saint-Aubin, il est dit que ce fut fait l'année où le château de La Flèche fut incendié. — Hoc illo tempore quo castrum Fisse horribiliter combustum
est. (Archives du Mans.) —
Et ce souvenir devait rester d'autant plus traditionnel que, soit avant, soit après le sac du château, toutes les campagnes environnantes avaient dû subir la terrible loi du vainqueur, loi se traduisant toujours alors par le viol , le meurtre et l'incendie.
HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, M. de Monlzey, page 37
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Siège et incendie par Foulques Rechin - Information GENERAL Information 0/0/1081 à 0/0/1081 gregoss24
... A défaut de données certaines et n'ayant en main qu'une seule pièce originale, tenant au précieux cartulaire de l'abbaye de Saint-Aubin (1), datée seulement de 1087 et parlant du château — CASTRUM DE FISSA — Instruit par la chronique de cette môme abbaye qu 'en 1067 il y avait une armée à La Flèche — exercitus de Fixa — et que Foulques - Réchin prit et brûla le château en 1081, nous nous bornerons à dire que Jean de Beaugency ne nous parait être devenu seigneur de La Flèche...(1)
(1) - HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, par CH.de Montzey - page 53 ou 30
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Sous-Type d'image Château des Carmes - La Flèche - Information GENERAL Information 0/0/1078 à 0/0/1078 gregoss24
Loin de reculer, les Angevins et les Bretons imitèrent le conquérant à sa
descente en Angleterre, détruisirent toutes leurs barques lorsqu'ils eurent
passé le Loir, (1 ) et commencèrent par investir le château , ainsi que paraît
le dire Orderic Vital : « Hoc audiensFulco vehementer doluit, undecumque
contractas viribus Joannis obsedit. »
Les deux armées allaient en venir

(1) Andegavenscs vero, Britoneo comperto, régis et agminis cjus advcntu non fugerunt;
sed potins Ligerim lluvium audenter pertransiernnt, et transrecti ne timidiores spe fugiendi
segniùs praliarentnr, scafas suas detruxerunt. — (Orderic Vital.)
HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, M. de Monlzey, page 36
Pertinence et notations : Option 2 0 Option 2 0 Option 2 0 Option 2 39 Cet élément est Neutre --> 0

Sous-Type d'image Trace et hypothèse du premier pont et des trois premier château de la Flèche - Hypothèse GENERAL Hypothèse 0/0/1067 à 0/0/1580 gregoss24
Trace et hypothèse du premier pont et château de la Flèche


Introduction

Avant d’entrer dans le cœur du sujet, il convient de rappeler que l’origine de la ville de La Flèche, à l’instar de nombreuses communes anciennes, demeure en grande partie obscure. Dans ce contexte, toute affirmation catégorique relèverait davantage de la spéculation que d’un propos historiquement fondé.
C’est donc dans une démarche de questionnement — et non d’affirmation — que nous aborderons les origines du château et du pont de La Flèche. Notre analyse s’appuiera sur les rares éléments historiques disponibles et adoptera une approche croisée, à la fois temporelle et cartographique.
La faiblesse des sources concernant les premières traces de ces deux édifices impose une certaine prudence. Néanmoins, nous nous efforcerons de rassembler et d’interpréter un maximum d’éléments fiables et contextualisés, afin de proposer une lecture aussi complète que possible de cette page méconnue de l’histoire fléchoise.

Pour offrir un aperçu clair de la complexité historique du château et du pont de La Flèche, il convient de souligner que leur histoire est marquée par une évolution en plusieurs étapes, réparties en quatre grandes périodes de construction. Ces structures se sont superposées au fil du temps, chacune portant les empreintes des époques successives.

Les deux premiers châteaux, édifiés au XIᵉ siècle par Jean de Beaugency, seigneur de La Flèche, constituent les fondations de la forteresse. Il s’agissait vraisemblablement de constructions en bois, adaptées à la morphologie du site et à la nécessité de défendre un fief stratégique au cœur du comté du Maine. Ces édifices ont non seulement marqué l’implantation seigneuriale, mais aussi entretenu un lien étroit avec le développement du pont enjambant le Loir.
Un troisième château fut érigé après la guerre de Cent Ans, vers 1480–1490, par René d’Alençon. Il s’élevait sur les vestiges du château antérieur ainsi que sur ceux du pont médiéval.
Enfin, le quatrième et dernier édifice, plus connu sous le nom de Château des Carmes, date du XVIIᵉ siècle. Il ne s’agit pas, à proprement parler, d’un château, mais d’un monastère construit sur les ruines de ses prédécesseurs.
Concernant le pont de La Flèche, les sources permettent d’identifier au moins quatre reconstructions successives depuis 1067, sans compter le tout premier pont, probablement en bois, dont les traces se sont effacées.
Dans cette étude, nous concentrerons notre attention sur les constructions médiévales, période fondatrice pour la structure urbaine et l’histoire de La Flèche.


Contexte historique

Parmi les rares faits historiquement attestés, la figure de Jean de Beaugency — également connu sous le nom de Jean de La Flèche — émerge comme le premier seigneur associé à la construction du château et du pont. Édifiés sur le Loir, ces structures semblent avoir été conçues conjointement : le premier pont, enjambant plusieurs îles et douves, s’appuie directement sur le château. Il en constitue à la fois un prolongement fonctionnel et un élément défensif fondamental. Étroitement lié à cette forteresse, le pont bénéficie de sa protection stratégique. L’ensemble a parfois été décrit comme une place forte imprenable, remarquable par l’ingéniosité de son dispositif défensif.

Les historiens avancent l’hypothèse que la ville fut fondée par Jean de Beaugency vers le milieu du XIe siècle, lors de la formation de la première seigneurie fléchoise. Cette supposition repose en partie sur un constat d’absence : La Flèche n’est pas mentionnée dans les grandes campagnes de construction menées par Foulque Nerra (965–1040), comte d’Anjou. Or, cette période correspond précisément aux décennies précédant Jean de Beaugency. Foulque Nerra est pourtant connu pour avoir bâti ou renforcé de nombreux châteaux dans la région, notamment à Baugé, Château-Gontier et Durtal (1040). Il mena également une opposition marquée à Eudes II de Blois, notamment au castrum du Lude.
Cette lecture historique met en lumière deux points d’analyse intéressants autour de l’antique région fléchoise. Le premier est que, jusqu’à 1040, l’axe stratégique majeur semble s’être situé au sud de La Flèche, le long d’une route reliant Angers à Vendôme, en passant par Baugé, Le Lude et Château-du-Loir. Le Loir, notamment à hauteur du Lude, apparaît alors comme une frontière militaire triturer dans les alliances seigneuriales entre les comtés de Blois et d’Anjou.

Le second point concerne la construction relativement tardive, en 1040, du château de Durtal, visant à renforcer la frontière orientale de l’Anjou. Ce choix interroge : pourquoi investir autant dans une fortification face à un voisin — le comté du Maine — alors perçu comme affaibli, tiraillé entre le duché de Normandie de Guillaume le Conquérant, le comté de Blois et celui d’Anjou lui-même ? Foulque Nerra aurait-il perçu dans la montée en puissance de Guillaume une menace pour l’équilibre régional ? Ou bien cherchait-il à se prémunir contre une nouvelle place défensive émergente dans la région de La Flèche ?

Ces interrogations illustrent toute la complexité des dynamiques territoriales et stratégiques au tournant du XIe siècle, et laissent entrevoir l’importance qu’aurait pu revêtir La Flèche dans cet échiquier géopolitique naissant.

Ce que l’on peut raisonnablement retenir de cette période, c’est l’évolution progressive de l’axe routier principal à partir du milieu du XIe siècle. Sauf erreur, la voie reliant Angers au Mans ne semble pas, d’après les cartes et les données historiques disponibles, passer logiquement par La Flèche ou par Durtal après 1040. Au contraire, elle semble s’articuler autour du Lude, qui devient dès lors un véritable carrefour régional, connectant quatre directions majeures : Vendôme, Angers, Tours et Le Mans.
Cette hypothèse trouve un certain écho dans l’histoire plus ancienne : la cité gallo-romaine de Cherré, située non loin de là, s’inscrivait déjà dans une logique similaire de circulation. Le déplacement du cœur des échanges vers Le Lude pourrait ainsi avoir contribué à sa montée en puissance en tant que place forte défensive.

Un autre événement significatif survient sous le règne de Foulque Réchin, fils de Foulque Nerra. En 1081, celui-ci entre en conflit avec Jean de La Flèche, dont la proximité politique avec Guillaume le Conquérant semble avoir éveillé la méfiance du comte d’Anjou. Pour préparer son offensive, Foulque Réchin positionne ses armées au lieu-dit de la Lande Blanche, au sud-est de La Flèche, dans les actuelles communes de Thorée-les-Pins et de Sainte-Colombe.
Or, la présence d’un pont enjambant le Loir à La Flèche est attestée dès 1060, ce qui confère à cet ouvrage une importance stratégique majeure dans la défense de la ville. Ce fait avéré soulève plusieurs interrogations sur les choix militaires opérés par Réchin. Si un tel accès existait bel et bien, pourquoi n’avoir pas mené l’attaque directement par le sud, en franchissant le pont ? Et si un point de passage fiable existait également à Durtal, pourquoi ne pas avoir concentré les troupes à l’ouest ?

Ces décisions laissent entrevoir une stratégie plus élaborée qu’une simple percée frontale. Il est plausible que Réchin ait cherché à affaiblir l’ennemi en dévastant les terres fléchoises situées au sud du Loir, tout en se plaçant en position d’interception face aux cavaleries locales ou aux renforts attendus du Conquérant. Dans ce contexte, la rivière aurait pu être utilisée comme ligne de défense naturelle, séparant les forces assaillantes de la ville et compliquant toute contre-attaque.

Il est également probable que les défenseurs, anticipant l’offensive, aient relevé ou détruit le pont — vraisemblablement un pont-levis — afin de ralentir l’avancée ennemie et de les exposer lors de la traversée. Un tel dispositif, fréquent dans les fortifications médiévales, permettait de transformer un axe de communication en point de vulnérabilité pour l’assaillant, renforçant ainsi la dimension défensive de la cité.
Ces questions restent ouvertes et nourrissent diverses hypothèses. Ce que l’on peut en revanche observer, c’est que les armées de Foulque Réchin semblent avoir préféré l’itinéraire de Baugé à celui de Durtal, ce qui confirmerait la prédominance de cet axe stratégique à l’époque.

Cette opposition entre le seigneur de La Flèche et le comte d’Anjou débouche d’abord sur une paix négociée avant même que les combats ne s’engagent réellement. Toutefois, cette trêve s’avère de courte durée. Dès 1081, Foulque Réchin relance les hostilités et met le siège devant la ville de La Flèche. Malheureusement, les sources ne précisent pas par quel itinéraire ses armées ont alors approché la cité, laissant en suspens la question des choix stratégiques et des axes de progression utilisés lors de cette seconde offensive.
Le premier seigneur de La Flèche, Jean, reste une figure encore mal connue. Sa date de naissance est estimée entre 1035 et 1045, mais la chronologie de sa prise de possession de la seigneurie demeure incertaine. Certains avancent l’hypothèse d’une installation autour de 1050, sans qu’aucune source ne permette de le confirmer avec certitude. Jean de La Flèche, originaire de Beaugency, est le fils cadet de Lancelin Ier de Beaugency, fidèle du comte Eudes II de Blois. Sa mère, Paule du Maine, est la fille d’Herbert Ier Éveille-Chien, comte du Maine, ce qui rattache Jean aux grandes familles féodales du centre-ouest.

Cette ascendance n’a probablement pas échappé à Foulque Nerra, comte d’Anjou, qui voyait d’un mauvais œil l’installation, aux portes de son comté, d’un vassal des Bloisains, ses adversaires traditionnels. Cette méfiance semble avoir persisté chez son fils, Foulque Réchin, qui entrera en conflit direct avec Jean de La Flèche en 1081.

Les liens familiaux de Jean avec le comté du Maine auront des conséquences politiques durables. Son fils Hélie, second seigneur de La Flèche, parviendra à acquérir le comté du Maine en 1093, en le rachetant à son cousin Hugues V. Cette ascension illustre l’importance croissante de la famille de La Flèche dans l’échiquier régional.

Enfin, dans un retournement typiquement médiéval, la fille unique d’Hélie, Erembourg du Maine, épousera Foulque V d’Anjou, dit « le Jeune », fils de Foulque IV Réchin, ennemi de Jean de La Flèche. De cette union naîtra la célèbre dynastie des Plantagenêt, qui régnera sur l’Angleterre pendant plusieurs siècles.
Les éléments connus concernant la Flèche et son premier seigneur, Jean, suggèrent qu’il aurait entrepris la construction ou la reconstruction d’un château entre 1050 et 1064, date du premier document mentionnant l’existence de cette fortification. Ce château, probablement initialement en bois, fut reconstruit après la bataille de 1081 contre Foulque Réchin, avec un passage vers une construction en pierre plus durable. Ce château abritait une chapelle dédiée à Sainte-Marie-Toujours-Vierge et une église voisine, Notre-Dame-du-Chef-du-Pont.

Il est également avéré qu’en 1067, une armée était présente à La Flèche et que l’existence d’un pont enjambant le Loir à cet endroit est confirmée. Selon les légendes données aux moines de Saint-Aubin d'Angers en 1080 et 1087, Jean de La Flèche aurait offert une partie des dîmes de ses quatre moulins, du four banal, de ses vignes, ainsi que des terres, dont une portion de ce qui deviendra la commune de Sainte-Colombe et les lieux-dits du sud de la Beufferie et de la Boirie. Ces éléments témoignent de la structuration du territoire autour du château, avec cinq douves au sud formant une enceinte, délimitée au sud par le Bourdigal, et quatre autres douves au nord. L’ensemble constituait une forme de château à mottes à l’intérieur du Loir, avec un axe de défense limitant la commune du Bourdigal à la douve passant légèrement au nord de l’actuel boulevard Montréal.

Si l’on suppose que Jean de La Flèche ait pris possession du fief en 1050 et qu’il soit décédé en 1087, il semble peu plausible qu’en l’espace de 37 ans, sans financement extérieur du comté du Maine, il ait pu réaliser un tel projet avec ses seuls moyens. De plus, étant donné que sa naissance est estimée entre 1035 et 1045, cela laisse peu de marge de manœuvre pour envisager une prise de fonction en 1050, ce qui déplace la période de son règne. Par conséquent, prétendre que Jean de La Flèche ait été l’initiateur de la ville semble improbable. Il est donc plus plausible qu'une bourgade existait déjà au début du XIe siècle, bien avant son arrivée.

Deux autres hypothèses intéressantes, évoquées dans l’essai historique de Burbure sur La Flèche ainsi que dans l’ouvrage de Pierre Schilte La Flèche Intra-Muros (page 177), proposent une vision alternative de l’origine seigneuriale de la ville.
La première, tirée de l’essai de Burbure, suggère que Lancelin Ier de Beaugency, père de Jean, aurait été le premier seigneur de La Flèche. Ce fief, historiquement rattaché au Maine, aurait ainsi appartenu à la famille des comtes du Maine. Paula du Maine, mère de Jean, aurait pu y contribuer par son mariage, permettant à Lancelin Ier d’en hériter. Cette hypothèse renforce l’idée que La Flèche relevait des comtes du Maine bien avant que Jean de Beaugency n’en prenne possession.

La seconde hypothèse, exposée par Pierre Schilte, fait remonter les origines de La Flèche autour de l’année 873. Selon lui, « suite aux grandes invasions des Normands, le roi Charles le Chauve, lors de sa venue au Mans, fit établir un système défensif reposant sur des mottes et des châtelets ». Deux siècles plus tard, Jean de Beaugency, considéré comme le premier seigneur de La Flèche, aurait remplacé l’un de ces ouvrages par une véritable place forte construite au milieu du Loir. Celle-ci est mentionnée pour la première fois en 1067 dans le cartulaire des bénédictins d’Angers.
On remarquera qu’à la suite de Jean de La Flèche, le fief gagna en importance, notamment grâce au pont enjambant le Loir, devenu un point stratégique majeur dans le développement de la ville. Lorsque son fils, Hélie de La Flèche, reprend la seigneurie en 1087, la commune connaît une croissance significative. Il semble qu’elle ait alors récupéré une partie de l’une des branches principales de la commune du Lude, favorisant un flux de circulation entre Le Mans et Angers par le carrefour de La Flèche.

Ce carrefour stratégique, toujours visible aujourd’hui, est connu sous le nom évocateur de Carroi. L’importance géographique de la ville va alors l’étendre progressivement, depuis les rives du Loir jusqu’aux abords de l’actuel boulevard Montréal, et ce, jusqu’aux limites de la rue des Juiveries (aujourd’hui rue du Collège), bien avant la guerre de Cent Ans.

Vers 1110, Hélie de La Flèche fera ériger l’église Saint-Thomas, qui sera alors construite à l’extérieur des remparts de la ville. Ce choix souligne à la fois l’expansion urbaine en cours et la volonté de structurer les nouveaux quartiers. Par ailleurs, après les vagues d’exode des populations juives vers l’Europe, celles-ci furent souvent installées dans des quartiers situés en périphérie des villes, communément appelés Juiveries. La présence d’une telle dénomination à La Flèche indique probablement l’existence d’un quartier juif à cette époque, en lien avec cette dynamique historique plus large.


LES EDIFICES
Hypothèses sur l’origine du château et du pont de La Flèche

Les traces matérielles concernant l’origine du château et du pont de La Flèche sont encore plus rares que les sources écrites. Toutefois, l’observation attentive de la morphologie du site permet de formuler quelques hypothèses.
Il semble en effet probable que le décaissement des douves ait eu une double fonction : d’une part, constituer un talus féodal pour se prémunir des crues du Loir ; d’autre part, assainir un territoire originellement marécageux. Ce vaste aménagement repose sur un ensemble de quatre îles artificielles :
• l’île de la Beufferie, au sud du Loir,
• l’île du château,
• l’île de l’église Notre-Dame-du-Chef-du-Pont,
• une île au nord, aujourd’hui masquée par le tissu urbain, mais autrefois délimitée par une douve encore partiellement repérable.
Sur cet ensemble, on peut supposer qu’un donjon primitif avait été érigé, entouré de palissades ou de fiches de bois — éléments caractéristiques des premiers châteaux à motte. Un axe routier nord-sud, traversant ce système insulaire via un pont en bois, semble s’y être progressivement greffé, structurant l’espace selon une configuration peu courante.

Fait notable : dans les représentations classiques des châteaux à motte, il est rare qu’une route traverse directement l’espace défensif. Si l’on admet ici un cas particulier, cela pourrait signifier que le donjon a précédé la construction du pont, et que l’axe routier fut intégré ultérieurement, traversant la structure initiale, sans doute pour des raisons logistiques ou fiscales.
L’économie hydraulique et l’implantation des moulins
On peut également supposer que la proximité du pont, du Loir et des structures seigneuriales a favorisé l’implantation précoce de moulins, qui représentaient à la fois une source de revenus et un marqueur de puissance seigneuriale au Moyen Âge. Rappelons à ce titre que Jean de La Flèche fit don, vers 1081, d’une partie des dîmes perçues sur quatre moulins.

Bien que nous ne disposions plus d’informations précises sur ces installations, plusieurs hypothèses sont envisageables. Il est probable que des vestiges d’anciens moulins se trouvaient dans la zone fortifiée par le château. Certains pourraient correspondre aux moulins actuels des Quatre Saisons et du Poils-de-Reux, d’autres à deux moulins aujourd’hui disparus : l’un près de l’ancien moulin des Tanneries, l’autre à l’intersection de la rue Basse et de la seconde douve. Ces deux derniers apparaissent sur le cadastre de 1823.
À noter que le moulin de la Bruère, bien documenté, ne fut édifié qu’à partir de 1094.
L’ampleur de ces aménagements hydrauliques témoigne à la fois d’un besoin économique important et d’une intervention technique significative sur le Loir. Il paraît cependant difficile d’attribuer à la seule initiative du premier seigneur, actif pendant environ 37 ans, l’ensemble de ces travaux d’envergure.
Le pont ancien et les fondations du château

L’axe routier primitif soutenant le premier pont en bois reste aujourd’hui largement hypothétique. Cependant, des traces de fondations en pierre, posées sur des fiches de bois, étaient encore visibles avant 1855, lors de la reconstruction du quatrième pont, dit « des Carmes ». Ces structures ont été relevées sur un plan de 1804, offrant un aperçu assez précis de leur implantation.
Ces fondations, disposées en courbe, s’alignaient parfaitement avec l’axe du château des Carmes. Cela suggère que les premières structures en pierre du pont se prolongeaient jusqu’à la première île au nord, celle du château. Une hypothèse courante veut que le château de Jean de La Flèche ait été bâti sur ces fondations, c’est-à-dire directement sur les deux arches encore visibles aujourd’hui.
Mais cette hypothèse mérite d’être nuancée. Est-il vraiment envisageable que le cœur du pouvoir seigneurial ait été situé au-dessus d’un axe de circulation accessible à tous ? L’île du château, plus vaste et stratégiquement positionnée avec une vue dégagée sur le pont, offre un emplacement bien plus pertinent du point de vue défensif. Ce choix semble bien plus cohérent avec les préoccupations militaires de l’époque.

Il est avéré que les fondations du château construit par Jean de Beaugency remontent au XIe siècle, et il est possible qu’elles aient intégré des vestiges du pont initial. Ces éléments auraient ensuite été recouverts par les travaux entrepris lors de la construction du château de René d’Alençon en 1490, après la guerre de Cent Ans.
Dans cette optique, le pont initial aurait prolongé le château vers l’ouest — côté vulnérable — et aurait débouché en direction des flèches des remparts, renforçant l’idée d’un pont en relation directe, mais non superposée, à la seigneurie. Néanmoins, aucune preuve ne permet aujourd’hui de confirmer l’existence d’une continuité du pont sous l’entrée actuelle du château des Carmes.
Un indice intéressant peut toutefois être relevé sur une photographie rare de 1855, prise lors de la reconstruction du pont. En observant attentivement le sol à l’arrière du château de René d’Alençon, on distingue ce qui pourrait être l’amorce d’une ancienne douve, suggérant une continuité de structure. Celle-ci aurait été comblée lors des travaux de reconstruction du pont entre 1681 et 1683.

Conclusion

Ce que l’on peut affirmer avec certitude aujourd’hui, c’est que le positionnement du château et du pont relevait d’une stratégie défensive complexe, étroitement liée à la topographie locale. L’articulation entre les éléments naturels et les aménagements humains témoigne d’une organisation réfléchie, dont les vestiges nous invitent encore à explorer les logiques d’implantation médiévales.


LE PREMIER CHATEAU

Ce premier château, dont la structure devait probablement s’apparenter à un château à motte en bois, entouré de palissades en bois, n’existe plus aujourd’hui. Il aurait vraisemblablement été détruit par Foulque Réchin en 1081. De cette période, hormis les fondations supposées de l’ancien pont, aucun élément ne peut être affirmé avec certitude.


LE SECOND CHATEAU 1081

Le second château, construit par Jean de la Flèche à la suite du siège et de la destruction du premier, fut très probablement édifié en pierre. Comme le précédent, il fut réduit à l’état de ruine par les Anglais durant la guerre de Cent Ans. Les vestiges informes de cet édifice persistèrent jusqu’en 1620, suggérant par leur ampleur et la nature des matériaux utilisés — notamment la pierre — l’importance qu’avait ce château.
Cela soulève la question de son style architectural. Deux hypothèses principales s’opposent : s’agissait-il d’un château de type manorial, à l’image de ceux de Durtal, Bazouges ou Baugé, entouré d’un rempart en pierre ? Ou bien Jean de la Flèche avait-il choisi un donjon carré massif, semblable à celui érigé par son frère à Lavardin ou par son père à Beaugency ?
La nature des sols, nécessitant des fondations solides, rend la première hypothèse — celle d’un château plus étendu et défensif — plus vraisemblable. Selon certains textes anciens, des traces de ces fondations subsisteraient encore dans les sous-sols de l’actuelle mairie.


TROISIÈMES CHÂTEAUX 1490

Les fréquents séjours du roi Charles VIII sur les bords du Loir ont incité René d’Alençon à entreprendre une reconstruction partielle de l’ancien château fort. De cette époque date le majestueux donjon à haut pignon, avec des toits à pentes raides, faisant face au Loir. Ce troisième château, édifié dans un style mêlant le roman et le gothique, fut construit avant 1490.

De nombreuses peintures, dessins et une photo de 1855 témoignent de l’existence de cet édifice, qui se trouvait en surplomb du Loir. Cependant, la photo de 1855, bien qu'elle montre le château dans un état critique, permet également d’apercevoir un système d’amarrage des bateaux propre au Loir. Ce système d'amarrage, essentiel pour la navigation et la gestion de l'eau, fait partie intégrante de l’histoire du site.
De ce château, il ne reste aujourd’hui qu'une partie de l'édifice originel, ainsi que deux tours néogothiques ajoutées plus tard. Bien que l’édifice ait subi des transformations et des dégradations, il demeure un témoin important de l’évolution architecturale de la région.

Le seul vestige encore existant de ce système d’amarrage des bateaux est le moulin fortifié de Mervé, situé sur la commune de Luché-Pringé. Ce moulin, tout comme le château, date de la même période et fait partie d'un ensemble architectural et fonctionnel qui a joué un rôle clé dans l'exploitation et la gestion de l'eau du Loir.
Lorsque René d'Alençon construira le troisième château vers 1490, sur les vestiges de l'ancien pont, il ne semble pas qu'il ait fait référence à des aménagements spécifiques sur la partie seigneuriale de l'île. Cependant, il est important de noter qu’une des missions des Carmes vers 1620, dans le cadre du legs de Louis XIII, était de nettoyer les vestiges de l’ancien château. Cette mission souligne l’existence de vestige remontant à la période de la guerre de Cent Ans.

Un dessin d'Étienne de Martellange, datant de 1612, montre depuis le toit du château de René, montre un ensemble d'éléments informes, parmi lesquels la structure d’une tour ronde semble émerger. Cette tour reste une énigme : elle pourrait être liée à la construction de René d'Alençon, ou bien à une construction antérieure datant du XIIIe ou XIVe siècle, non documentée par les sources historiques. Si l’on observe bien, le style architectural de René d'Alençon, influencé par la Renaissance, contraste fortement avec le caractère plus médiéval de la tour en question. Cela soulève des interrogations quant à l’origine de cette structure, et si elle pourrait provenir d’une autre époque de construction.
Les travaux de René d'Alençon pour son château sur le Loir ont aussi des conséquences sur l'utilisation du pont. Il semble y avoir une incohérence dans l'utilisation du pont primitif. Ce dernier a été détruit vers 1580, tandis qu'un nouveau pont a été construit entre 1595 et 1610, à l’ouest du précédent. Ce changement de localisation et de structure du pont soulève une question intéressante : si les travaux de René d'Alençon ont bloqué l'accès au pont à partir de 1490, comment les gens traversaient-ils la rive du Loir à cette époque ?
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Sous-Type d'image Origine du premier seigneur de la Flèche par CH.de Montzey - Hypothèse GENERAL Hypothèse 0/0/1051 à 0/0/1064 gregoss24
... Lancelin de Beaugency vivait donc vers l'an 1000 (Art de vérifier les dates). On le voit apparaître dans différentes chartes, en 1033, en 1040 et en 1050. Puis aucune trace de lui depuis 1051. Il est donc probable qu'il mourut de 1051 à 1060. Jean, son fils cadet, défendait son château de La Flèche en 1064 contre le comte d'Anjou. Est-ce par Lancelin 1? ou par Jean, son fils, que ce château a été bâti? Le premier tenait-il celle seigneurie du chef de sa femme Paule, fille d'Herberl-Eveille-Chien, comte du Maine? Le second, Jean, ne pouvait-il pas, lui, l'avoir reçue de sa femme nommée aussi Paule, tille d'Hugues II, beau-frère de Lancelin, et par conséquent nièce de la mère de son mari : car en parlant des trois filles d'Hugues II, comte du Maine, Orderic Vital dit : « Tertia r.tro Johnnni, Domini Castri(juod Flerchid dicilur, nupsit. » Leur fils Hélie avait l 'âge d' homme à la mort de son père Jean, en 1088; tous ses actes prouvent qu 'il avait au moins trente ans à cette époque; et comme il eut deux frères aînés, il est probable que leur père se maria de 1050 à 1054, étant déjà seigneur de La Flèche. Nous prendrons donc comme date principale 1051. C'est seulement au moyen de ces calculs approximatifs que l' on peut dire que vers 1051 ou 1052 le château venait d 'être bâti ou se bâtissait.(1) Dans l 'Essai sur les Fortifications anciennes, par M. le capitaine du génie Delair (Dumaine 1875), nous lisons : « On trouvait encore, dès le XIe siècle, le château de La Flèche construit sur des arches en maçonnerie au milieu de la rivière; et les faubourgs, situés sur les berges, avaient été également séparés de la terre ferme, sur laquelle ils étaient précédemment élevés au moyen de canaux artificiels. Cet ensemble, dit M. Feauger, formait un système de fortification hydraulique, très-original alors, mais aussi très-efficace »(2)
(1) - HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, par CH. de Montzey - page 40 ou 17 (2) - HISTOIRE DE LA FLÈCHE ET DE SES SEIGNEURS, par CH.de Montzey - page 54 ou 31 en référence à l 'essai sur les Fortifications anciennes, par M. le capitaine du génie Delair (Dumaine 1875)
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Sous-Type d'image Origine du premier chateau de la Flèche selon Pierre Schilte - Hypothèse GENERAL Hypothèse 0/0/873 à 0/0/1067 gregoss24
Le château de la Flèche peut prétendre à des origines fort lointaines.
En 873, alors que les provinces de l'ouest étaient périodiquement dévastées par les Normands suite aux grandes invasions des Normands, le roi Charles Chauves, l'un des grands organisateurs du pouvoir central du Maine et de l'Anjou, avait fait établir lors de sa venue au Mans tout un système défensif par le moyen de mottes et de châtelets. C’est probablement pour remplacer l’un de ces ouvrages que deux cents ans plus tard Jean de Beaugency, premier seigneur de la Flèche, construisit au milieu du Loir une place forte que le cartulaire des Bénédictins D’Angers mentionne pour la première fois en 1067.
Extrait de, La Flèche intra-muros, Pierre Schilte, section Château des Carmes page 177
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Nom Informations
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Zone(s) Naturelle(s) associée(s) --> 0:
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Porte de Verron Durtal Porte Structure Défensif 13,17
Motte de Bouzeau Luché-Pringé Motte castrale Structure Défensif 16,87
Château de Baugé Baugé (49) (old) Château Structure Défensif 17,3
Le fort de la Motte Le Lude Motte castrale Structure Défensif 18,27
La Motte Aubigné-Racan Motte castrale Structure Défensif 24,67
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Publié : Oui
Date de Création : 27 décembre 2023 19:56
Date de Modification : 14 mai 2025 12:56
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